BAHREIN- ZONES ARCHEOLOGIQUES

 

Mise à jour mai 2054

Le journal The National de Dubai a fait paraitre le 23 septembre 2023 un article sous ls signature de Melissa Gronlund sur une note de Béatrice de Cardi, société des antiquaires de Londres, relative aux découvertes des 22 dernières années à Bahrein

 

Ci-dessous extraits traduits de l’anglais :

 

En 2001 le professeur Timothy Insoll () le professeur Al Qassim professeur d’archéologie africaine et islamique de l’université d’Exeter avec le soutien des autorités locales ont commencé à travailler sur le site de Bilad Al Qadeem capitale de l’ile pendant la période abbasside aux 9ème et dixième siècle et un établissement islamique occupé jusqu’au 15 ème siècle.

Les fouilles du palais ont montré quelle sorte d’aliments mangeaient les habitants, comment ils captaient et stockaient l’eau et même quel était leur environnement.

La présence de mollusques a montré que le sol était plus humide que le désert actuel. Cela a pu apporter ses propres implications dans la propagation de parasites que Insoll et son équipe pensent avoir eu lieu le long des routes commerciales

Les grands arbres de mangrove utilisés pour la construction du palais de Bilad Al Qadeem comme pour les autres maisons de l’époque étaient importés de Madagascar et de l’Afrique de l’Est et les maladies peuvent avoir été apportées avec les poutres sur les bateaux.

 

En 2017 Bahrein a ouvert un petit musée dans la mosquée Al Khamis pour faire connaitre les découvertes d’Insoll et de son équipe incluant quelques-uns des extraordinaires monuments funéraires qu’ils ont découverts avec leurs gravures finement sculptées indiquant les noms des hommes et des femmes enterrés là

Dans la ville de Hamad Town au nord -st de l’ile l’équipe d’Exeter va ouvrir bientôt un petit parc avec des canaux d’irrigation datant de 200 ans

 

Ils ont aussi découvert un autre site montrant le fertile changement de religion à Bahrein comme à Samahej un établissement chrétien nestorien du 7ème siècle

 

Ils ont aussi trouvé sur l’ile de Muharraq près de la côte des signes suggérant une habitation chrétienne, tels que les traits d’un poisson figurant sur un des murs et des céramiques portant les signes de la croix

 

Note :

Insoll professeur d’archéologie africaine et islamique de l’université d’Exeter