Rivières et lacs suivant le dictionnaire de Casalis


  

Mise à jour février 2014

 

 

Dizionario de G. Casalis Turin

 

    Volume XI                                                                     

 

Etude Jacky Sarale, Raoul Barbès

 

Certaines rivières ne sont pas identifiées pour l’instant car beaucoup de toponymes ont changé. Elles sont notées (ni)

Par ailleurs l’étudede casalis ne semble pas très précise. Notamment certaines rivières ne sont pas mentionnées, et des localisations sont approximatives.

Casalis semble s’être inspiré de la « Chorographie des Alpes Maritimes » de l’abbé Gioffredo (1629-1692).

Les cartes de Cassini sont limitées au territoire français de l’époque et donc ne sont utiles que pour la vallée de l’Estéron.

Les cartes de Bourcet () ont également été étudiées ainsi que les cartes IGN, mais beaucoup de petits vallons qu’il nomme ne sont pas cités ici.

Les cartes les plus intéressantes sont celles des Archives Royales de Turin () plus loin mentionnées seulement sous le titre de cartes de 1763.

Voir aussi Roubaudi()

 

Les noms des villages ont peu évolué.

 

Traduction du texte

 

 

Les rivières

 

« Le Var qui autrefois séparait la Gaule Narbonnaise de la Ligurie, et sépare aujourd’hui les Etats du Roi de Sardaigne d’une partie du territoire français, naît au pied d’une montagne  escarpée et dénudée à laquelle on donne le nom de Gamelione (ni, peut être Garrets en contrebas du col de la Cayolle), à la distance  de cinquante milles environ de la mer.

 Note : Roubaudi () page 123 donne les indications suivantes  « Le Var prend sa source au territoire d’Allos à la base d’une montagne appelée Lou Serre de Camaion ou la Caillole ; nous avons déjà dit que c’est le Mons Cemenus, Cema ou Acema de Pline, le mont Camelio ou Cemelio de Giustiniani ou encore le mont Salvius de Biondo. Ce fleuve sort de deux  fontaines, l’une située  au pied d’un roc appelé la Bauma, l’autre au-dessous d’une prairie nommée Pralong, l’une et l’autre à peu de distance du hameau d’Astenck

 

Après avoir parcouru une petite distance, il reçoit les eaux d’un gros torrent à Entraunes (note : le Bourdous venant de la cime de Pal). Un peu plus bas il reçoit le Mocciglione, petit ruisseau  qui descend  des crêtes de S. Dalmazzo il Selvatico (Saint Dalmas le Selvage). (Note : Vallon du champ Moussillon (IGN), Chamoussillon d’après Gioffredo mais qui ne peut provenir des hauteurs de St Dalmas le Selvage. Cette erreur est reprise par Casalis. Cet affluent provient d’une vallée dominée par la cime de l’Aspre, le Pas de la Trotte et la cime de Chamoussillon en limite des communes d’Entraunes et Villeneuve d’Entraunes au-dessus du Hameau des Tourres)

Et à une certaine distance plus bas que le lieu de S. Martinetto (Saint Martin d’Entraunes), s’y jette le ruisseau dénommé Delle Figlie (Note : le ravin des Trinquiers, qui se nomme le Rio d’Assilias avant de se jeter dans le Var (IGN) sous un lieu-dit Fillias sur la carte de 1763 ; d‘autre part Gioffredo le nomme « des Filleuls ») ; puis à deux milles après avoir baigné les terres de Villanova (Villeneuve d’Entraunes),  et en arrivant à Guillaumes  et autres lieux de la rive gauche, il se mêle à la Barlata (la Barlate)  qui provient du côté occidental des monts  qui entourent S. Stefano di Tinea (Saint Etienne de Tinée), et puis avec le Tueve (Tuebi) qui descend des collines  au-dessus de Peone et à peu de distance avec le Rio Vallanto (ni, pourrait être le Cante en rive droite ou le Tireboeuf en rive gauche. Sous les Roberts en rive gauche se jettent deux ruisseaux l’un Vallon des Roberts pour l’IGN et Rio de Roberts sur la carte de 1763, l’autre le Vallon de Tireboeuf ou Vallaute chez Gioffredo ce qui semble mieux correspondre) ; de là il s’engage dans un passage étroit et profond appelé Damos (gorges de Daluis) ; il reçoit ensuite le ruisseau dit Acquabianca (L’Aigueblanche est un affluent du Tuebi) et le Rastello (ni. Casalis ne mentionne pas d’affluents dans les gorges alors que Gioffredo cite l’Aigue blanche et le Rastel soit les mêmes et qui pourraient être le « vallon d’Amen ou de Combon en rive gauche  et le Berthéou en rive droite pour l’IGN  » 

(Entre Daluis et Castellet Cassini mentionne en rive droite le Rio du Bres)

Peu en aval du lieu de Castelleto (Castellet les Sausses)  il se grossit des eaux du torrent Colombo. (Le Coulomb est mentionné par Cassini sous le nom de Colon. Il s’agit bien du Coulomb (Colombo) qui grossit le Var à ce niveau et cité par Gioffredo)

A peu près trois milles après il reçoit le petit ruisseau de la Chiavagna (Chalvagne) qui a sa source à Villavecchia (Villevieille) et Mombianco (Montblanc) ; il se dirige ensuite vers Entrevaux. (Note : La Chalvagne se jette dans le Var à Entrevaux même) et à Poggetto (Puget Théniers)

Sous ce lieu  il se grossit des eaux du torrent Rodola (Roudoule), qui venant du territoire de la Croce (La Croix sur Roudoule), avec ses subites et impétueuses crues, souvent au temps passé provoquait de notables dégâts sur les terres de Poggetto.

Un peu avant d’arriver à Toetto (Touet sur Var), il reçoit les eaux de la rivière Chianzo (le Cians nommé le Champ par Bourcet), lequel provient d’un petit lac  situé sur les flancs du col de Mormors (ni, col de Molines ? Col de Mourine sur la carte de 1763, des Moulins (IGN) en limite des communes de Beuil et Roubion autrefois effectivement limite des deux diocèses) qui séparait autrefois le diocèse de Nice  de celui de Glandèves.

Puis le Varo poursuivant sa course entre les monts Bagino (ni, Mont Brune? Mais le Mont Brune semble être trop à l‘ouest) et Viale (Mont Vial), ou pourrait-on dire Villare (Villars sur Var), jadis résidence des Comtes de Boglio (Beuil) et Malaussena (Malaussène), après quelque trajet, il se précipite  entre deux parois  qui ne sont pas distantes l’une de l’autre de seize palmes. De là à peu de distance, s’y jette la Tinea (Tinée). Quatre milles en aval  de l’embouchure de la Tinea.  il est notablement accru par les eaux de la Vesubia (Vésubie), et eu dessous de Bussone (Bonson), située sur la rive droite, s’y jette le Sterone (Estéron). Le fleuve ainsi grossi  atteint une zone plus spacieuse. Il se dirige vers le sud, et laissant à droite les lieux del Brocco (Le Broc), Carroz (Carros), Gattières et S.Lorenzo (Saint Laurent du Var), et sur la rive gauche  ceux della Rocchetta (la Roquette sur Var), de S.Martino (Saint Martin du Var), d’Aspromonte (Aspremont),  et la partie du territoire de Nice qu’on appelait les Sagne, il se jette dans la mer Ligurique. Il est pauvre  en poissons. Enormément gros aux premières chaleurs du printemps, quand commencent à fondre les neiges des Alpes, il occasionne souvent de graves dommages  avec ses débordements. Pendant les autres saisons il se  réduit notablement.

On y fait flotter des troncs de mélèzes et de sapins; mais les radeaux ne peuvent descendre ce fleuve  à cause des cataractes de Poggetto Tenieri (Puget Théniers)

Il donne son nom à un département français ayant pour chef-lieu Draguignan.

La Tinea fleuve torrent  qui a  sa source au sommet des vallées, dont Santo Stefano di Tinea (Saint Etienne de Tinée) prend le nom,  est formé principalement des eaux  sortant de quelques lacs et aussi des ruisseaux qui proviennent  de trois endroits différents, c'est-à-dire la montagne de Sestrières,  située entre les lieux d’Entraunes  et de S. Dalmazzzo il Selvatico, de la vallée de Burios (ni) au-dessus du pré Massagio (note : région de Bouseyas) du même S. Dalmazzo, et du mont Salsomorena (Salso Moréno) sur le territoire de S. Stefano, sous lequel il reçoit l’Ardone (Ardon)  provenant du col de Palle (Pal) ; puis après un parcours  d’un mille il est grossi par la Roja (Roya) qui descend  du lieudit  des Achiardi (ni), et ayant parcouru une même distance  il reçoit le petit torrent de la Guercia (Guercha, Guercha ou de Sainte Anne par Bourcet), dont les débordements sont parfois dévastateurs. Plus en aval, à la distance d’un mille, il reçoit la Lionza (le vallon de Mollières où il existe un lieudit La lauza et un autre la Liouna, vallon des moulins chez Bourcet) provenant de Mollières de S. Salvatore. (Le torrent se jetant dans la Tinée sur la rive droite en face de Saint Sauveur est nommé Vioulane par Bourcet) Après une certaine distance il reçoit le ruisseau torrent la Blora (le Riou) qui vient de la vallée du même nom ; et laissant ensuite les châteaux de Maria (Marie), Clanzo (Clans), la Torre de Roura (Roure), Bairols, Illonza (Ilonse), et finalement Tornafort (Tournefort) et Massoins se jette dans le Varo.

 

La Vesubia qui dans certaines cartes anciennes  est appelé Fluvius Vesobia  et par certains auteurs Vesubius, provient en partie du lac de Finestre (Fenestre)  et en partie des lacs  qui se trouvent dans les montagnes de S.Martino (Saint Martin Vésubie) ; après un long parcours elle reçoit la Gordolasca (Gordolasque), qui a pour origine un petit lac dénommé l’Agello (Note : Lac Long ? Le lac Agnel se déverse dans le bassin versant de la Roya). Elle traverse les terres de Venasolle (Venanson) et de Roccabigliera (Roquebillière) ; plus en aval elle rase le rocher où se trouve Lantosca (Lantosque) ; puis entre des rives très étroites, elle rejoint le territoire de Duranus, elle entre dans une cavité caverneuse de tuf  dite La Tombina del Tempio, où avec une grande impétuosité on voit l’eau se briser en tourbillonnant, et jadis on croyait  que de là par des moyens souterrains elle débouchait sur le territoire de Nice. Laissant Utelle et Roccasparviera, après un parcours de seize milles  elle se joint au Varo aux confins de Levenzo (Levens). Parfois on voit des loutres sur ses rives.

Lo Sterone dénommé dans les vieilles cartes Fluvius Stero, descend des confins de Soleihas, passe entre Brianzone (Briançonnet) et S. Albano (Saint Auban), court ensuite entre Coalongia (Collongues) et Salagrifone (Salagriffon); puis descend entre Mas (Le Mas) et Aigluno (Aiglun), va baigner Rocca-Sterone (Roquesteron) et se jette finalement dans le Varo entre Giletta (Gilette) et Dosfraires.

Le Paglione (Paillon) naît à la distance de treize milles de la mer ; ses principales sources se trouvent dans un site dénommé Pallium (ni) dans le secteur de Maironeu (Note : Mairanesca au sud du col de Porte et de Lobe ou la carte de 1763 situe la sorgente du Paillon) à deux lieues au-dessus du village de Luceram ; il reçoit en premier les ruisseaux qui descendent du Ferrione (Férion) ; puis en dessous de la Punta di Contes (Pointe de Contes) il reçoit ceux de la montagne de Brau (Braus), qui passe au pied de Toetta (Touet de l’Escarène) et de Scarena (l’Escarène); et puis plus bas les eaux de Peglia (Peille), (Note : l‘Erbossiera) et de Serena (ni,après le confluent du paillon de St André en rive droite un ruisseau descendant de la Séréna de Rimiez aboutit dans le Paillon il est difficilement visible en raison de l’urbanisation), et à droite celles de S. Andrea (Saint André de la Roche), d’où elle sert  à arroser et parfois inonder  les terrains attenant à l’abbaye de S. Ponzo (Saint Pons); il baigne sur le côté septentrional les murs  de la ville de Nice, la séparant de son vieux faubourg, et finalement à l’ouest de cette ville  se jette dans la mer. Dans la seule campagne de Nice le Paglione occupe un espace de mille mètres ; la plupart du temps il se traverse à gué, mais en cas de crue il déborde et inonde les campagnes environnantes.

Il Roja appelée Rutuba chez Pline ; s’il on en croit Marco Varone elle a pris le nom de Ruendo à cause de l’impétuosité de ses eaux, Giustiniani et Leandro Alberti l’appellent Rotta ; Cluverio et d’autres l’appellent Rodoria ; dans certaines cartes du monastère de Lerino (Lerins) elle est nommée Fluvius Rodogia ; et les gens des terres du voisinage lui donnent le nom de Roira ou Roera. Elle naît au mont Cornio, c’est à dire le col de Tenda (Tenda). En contrebas de ce lieu elle s’accroît des eaux del Maschetta (ni) et del Aurasia (ni, qui pourraient être la Caramagne et le Refrei  et plus bas del Livenzo (Levensa, Levenza chez Bourcet), laquelle ne vient pas  comme le pense Bottero, des sources  que l’on croit miraculeuses du territoire della Briga (la Brigue)  mais de lieux bien plus élevés confinant aux terres de Triora. Non loin de S. Dalmazzo (Saint Dalmas de Tende) où se trouvait un monastère d’Agostiniani, elle reçoit la Bevogna (Bieugna, Biogne chez Bourcet) provenant des lacs des Merraviglie (Merveilles) ; près de Saorgio (Saorge) et de Breglio (Breil sur Roya), lieux situés sur la rive gauche, elle est grossie par les eaux del Bendola (Bendola), del Caussega  (Note : la Ceva qui vient des pentes de la Cime de Causega IGN et rejoint la Roya au lieu-dit Caussega), del Cairasso (Cairos), Casalis comme Gioffredo ne cite pas la Maglia. Elle a pourtant un débit important et permanent), del Lavandino (Note : la Lavina IGN et Gioffredo), et del Carnevale ( Note : Carlave sur le cadastre napoléonien Carlevas pour l‘IGN Carleva pour Gioffredo et vallon di Mauriagna carte de 1763 en rive gauche à la sortie de Breil (Bourcet cite le torrent de ND de Grace sur la rive droite au niveau de Breil), torrents qui ont tous un cours impétueux, puis pas loin du château de la Penna  (Piene),elle reçoit le Laudera (Note : sans doute le Riou), et plus bas le Bevera qui vient de Sospello (Sospel).

Finalement après un parcours d’environ vingt milles  dans la direction du sud, bordant la route qui dans le rocher vif  fut ouverte entre Breglio et Tende, va se jeter  en dessous de Vintimiglia (Vintimille) dans la mer ligurique. Les eaux de la Roja sont très limpides du coté de ses sources. Des truites exquises s’y nourrissent ; divers canaux s’y branchent pour l’irrigation des campagnes, et de nombreux « gere » (moulins ?) pour mouvoir des installations mécaniques ; ses eaux servent à transporter  dans la plaine, les bois fournis par les forêts de Tenda della Briga  et de Saorgio »

 

Les lacs

 

« On en trouve un certain nombre, dans le secteur des Alpes Maritimes qui forment le Comté de Nice, le séparant du Piémont et du Dauphiné.

Ce sont le lac de l’Argentera (trois lacs à l’est du sommet de l’Argentera en territoire italien) sur la montagne où s’achève la vallée de la Stura, dont les rives  à la belle saison  se présentent de façon agréable pour la variété et le charme de leur verdure et de leurs fleurs, dont le Duc Carlo Emanuele I fit une description  dans une lettre à l’infante D. Catterina d’Austria  après l’avoir visité en 1590 ; il  affirma n’avoir jamais vu un réservoir d’eau aussi délicieux que celui-ci. Giulio Raimondi di Soliers écrivit que le lac de l’Argentera dont la Stura à l’est et l’Ubaja (Ubaye) à l’ouest ont leur origine était très fécond en poissons.

Le lac de Finestre se trouve sur le passage de ceux qui vont au col du même nom, et de ceux qui descendant du côté opposé à S.Martino se dirigent du Piémont vers Nice.

Le lac se trouve vraiment à la base du col et donne naissance à un ruisseau qui alimenté par d’autres eaux  qui de chemin en chemin s’y réunissent, devient la rivière Vésubia ci-dessus décrite.

Ludovico Taone di Lantosca dans une œuvre qui a pour titre « du Tremble Terre », dit mais sans preuve  que ce lac apparut après un terrible tremblement de terre survenu dans les environs.

D’autres lacs se trouvent dans le district de S.Martino, qui sont appelés par les gens des environs de la Foz (la Fous), Besson (Les Bessons), Entrecolpas (Trecolpas), et Millefonts. De ces lacs on pense que les rivières Ceresa (Cerise, vallon du Cavalet)) et Borreone (Boréon)  qui en aval de S.Martino  se jettent dans la Vésubia.

Les lacs de Merraviglie  se trouvent à l’est de Belvédère non loin des âpres montagnes appelées Fiero, (Cime du Diable IGN ou du Rapo carte 1763, Fier-Capellet chez Gioffredo) Capelleto (Capellet)  et Monbego (Mont Bego)  lesquels à plus ou moins égale distance les uns des autres forment un quasi triangle, formant au milieu un beau plan de neuf lacs  entourés d’une épaisse forêt  de mélèzes et dont les rives sont agrémentées de groupes de fleurs odoriférantes  qui apparaissent seulement en Août et Septembre.

Pendant ces mois-là on y conduit des moutons à pacager, le sol, le reste du temps est couvert de neiges très épaisses. Dans ces lacs, peut-être à cause de la rigueur du froid ne vivent des poisson d’aucune sorte. Ceci par contre ne se produit pas  dans un autre à peu de distance, nommé de la Gordolosca. Quelques espèces de poissons s’y trouvent en abondance.

Les lacs des Merraviglie ci-dessus selon ce qu’affirme Onorato Laurenti dans une relation manuscrite furent ainsi nommés parce que sur leurs rives  on trouve des pierres toutes de couleur diverse, planes et glissantes avec des figures diverses, représentant des quadrupèdes, des oiseaux  et des poissons, des instruments mécaniques, etc… Mais de telles pierres  qui selon Laurenti furent sculptés dans des temps très reculés par des bergers voulant combler l’oisiveté, ne s’y voient plus depuis longtemps. Dans un de ces lacs appelé Sandaglio (Note : il n’y a pas de lac de ce nom mais un sommet appelé cime Escandail par l’IGN cime d’Scandeja 1763), la Bevogna (La Beugne) prend sa source.

D’autres lacs peuvent se voir par ceux qui par les montagnes au-dessus de S.Stefano  veulent descendre aux bains sulfureux de Vinadio. D’un de ces lacs tire son origine la Tinea, et d’un autre un ruisseau abondant qui se précipitant à travers des rochers escarpés va se jeter dans la Stura »

 

 

Bibliographie

 

Dizionario geografico storico statistico commerciale compilato per cura del Professore e Dottore di Belle Lettere

Gioffredo Casalis Cavaliere dell’ordine de SS Maurizio e Lazzaro

Opera molto utile agli impiegati nei pubblici e private uffizi a tutte le persone applicate al foro alla milizia al commercio e singolarmente agli amatori delle cose patrie

Bibliothèque municipale de Nice

Tome XI B 8143 – date 1843

 

Archives Royales de Turin Carte Top per A e B Nizza n1, n… date 1763

 

Cartes de Provence des Ingénieurs militaires  (Bourcet 1748-1778)

 

Roubaudi Louis – Nice et ses environs – 1843 – Paris Turin - consultable sur Internet