Implantation militaire dans le Comté de Nice suivant le dictionnaire de Casalis
Mise à jour 15 janvier 2011
Selon les observations de Casalis il apparaît que l’implantation militaire dans l’arrière pays était très légère. Elle était cantonnée dans une dizaine de villages; la plupart du temps dans les chefs lieux de mandement qui étaient au nombre de treize et se limitait en tout à guère plus d’une cinquantaine d’hommes. A Villefranche il y avait une garnison de 300 hommes. La ville de Nice ne fait pas partie de cette étude
Ascros : pas d’indication
Aspromonte : pas d’indication
Auvare : pas d’indication
Bairols : pas d’indication
Belvédère : pas d’indication
Berra : pas d’indication
Beuil : pas d’indication
Breglio : un poste de cinq carabiniers royaux a été transféré à la Ghiandola
Briga : pas d’indication
Castelnuovo di Nizza : en attente
Château-neuf d’Entraunes : pas d’indication
Cigale : pas d’indication
Clanzo : il y a un poste de cinq carabiniers commandés par un brigadier
Coarazza : pas d’indication
Conte : pas d’indication
Cuebris : pas d’indication
Daluis : pas d’indication
Drappo : pas d’indication
Duranus : pas d’indication
Entraunes : pas d’indication
Eza : pas d’indication
Falicone : pas d’indication
Gilletta : pas d’indication
Gorbio : pas d’indication
Guillaumes: c’est le siège de la justice de mandement. Il y a un poste de carabiniers compris le brigadier qui la commande. Autrefois il y avait un presidio de vétérans avec un commandant de place
Illonza: pas d’indication
Isola : il y a un poste de cinq carabiniers royaux
La Croix : pas d’indication
Lantosca : pas d’indication
La Penna : pas d’indication
La Torre : pas d’indication
Levenzo : sous la domination française, il y avait un poste de cinq gendarmes. En 1814 il y en avait un de cinq carabiniers royaux qui fut déplacé en 1832 à Rocchetta S. Martino
Lucerame : pas d’indication
Malaussena : pas d’indication
Maria : pas d’indication
Massoins : pas d’indication
Peglia : pas d’indication
Peglione : pas d’indication
Penna : pas d’indication
Peone : pas d’indication
Pierlaz : pas d’indication
Pietrafuoco : pas d’indication
Pogetto Rostang : pas d’indication
Pogetto Théniers : en plus du juge de mandement il y a un poste de huit carabiniers royaux y compris le lieutenant et le brigadier
Rigaud : pas d’indication
Rimplas : au sommet d’une haute montagne au nord est de l’habitat le génie militaire a construit un signal en bois qui répond à deux autres pour les opérations trigonométriques ; un est à l’ouest sur le mont Monier (Mons niger) et l’autre au sud est sur le mont Siruol
Robbione : pas d’indication
Roccabigliera : pas d’indication
Roccasterone : il y a une station de carabiniers composée d’un brigadier et de quatre carabiniers à pied
Rocchetta del Varo : pas d’indication
Rora di Nizza : pas d’indication
S.Agnese : pas d’indication
S.Andrea : pas d’indication
S.Antonino : pas d’indication
S.Biagio : pas d’indication
S.Dalmazzo Salvatico : pas d’indication
S Léger : pas d’indication
S.Martino d’Entraunes : pas d’indication
S.Martino Lantosca : pas d’indication
S.Salvatore : pas d’indication
S.Stefano di Tinea : outre le tribunal de giudicature et l’office d’insinuation qui existe depuis plus de deux siècles il y a un bureau des douanes royales et un autre des gabelles.
La station de carabiniers qui se trouvait à San Stefano a été déplacée à Isola, mais peut être elle serait en ce moment déplacée de nouveau dans ce chef lieu de mandement.
Présentement y résident un chef de garde, un garde champêtre, un receveur, un commissaire aux douanes et une brigade de preposti
Saorgio : pas d’indication
Scarena : pas d’indication
Sospello : avant que le Comté de Nice ne fut envahi par les troupes françaises il y avait un commandant militaire, une garnison de soixante hommes commandée par un capitaine et deux officiers subalternes ; un de ceux-ci était destiné au presidio de Tenda. Maintenant il n’y a plus qu’un poste de carabiniers commandé par un brigadier
Tenda : dans la bourgade de Tenda existe une direction royale pour les secours et pour la sécurité des voyageurs
Thiery : pas d’indication
Todone : pas d’indication
Toetto di Boglio : pas d’indication
Toetto Scarena : pas d’indication
Tornaforte : pas d’indication
Torrretta di Levenzo : pas d’indication
Torretta di Revest : pas d’indication
Trinitta Vittorio : pas d’indication
Turbia : pas d’indication
Utelle : pas d’indication
Val di Blora : pas d’indication
Villafranca di Nizza : ici se trouvent les bureaux du commandant du second département de la marine royale, celui du commissariat de santé, et l’office des régies postales.
A Villafranca se tient habituellement une garnison de trois cents hommes d’infanterie
Villanuova d’Entraunes : pas d’indication
Villar del Varo : pas d’indication